Les nanobulles sont de minuscules bulles de gaz, mesurant seulement 50 à 100 nanomètres de large — environ 1 000 fois plus petites qu'une cellule humaine ! Malgré leur petite taille, elles ont un impact puissant contre les microorganismes comme les bactéries, les virus et les champignons. Elles y parviennent grâce à des espèces réactives de l'oxygène (ERO) — des molécules hautement réactives qui oxydent et détruisent les cellules.

Les nanobulles sont de minuscules bulles de gaz, mesurant seulement 50 à 100 nanomètres de large — environ 1 000 fois plus petites qu'une cellule humaine ! Malgré leur petite taille, elles ont un impact puissant contre les microorganismes comme les bactéries, les virus et les champignons. Elles y parviennent grâce à des espèces réactives de l'oxygène (ERO) — des molécules hautement réactives qui oxydent et détruisent les cellules.

Les nanobulles sont de minuscules bulles de gaz, mesurant seulement 50 à 100 nanomètres de large — environ 1 000 fois plus petites qu'une cellule humaine ! Malgré leur petite taille, elles ont un impact puissant contre les microorganismes comme les bactéries, les virus et les champignons. Elles y parviennent grâce à des espèces réactives de l'oxygène (ERO) — des molécules hautement réactives qui oxydent et détruisent les cellules.

Que sont les espèces réactives de l'oxygène (ERO) ?

Les ERO sont des molécules contenant de l'oxygène et sont extrêmement réactives. Les types courants incluent :

  • Radicaux hydroxyles (•OH)

  • Anions superoxyde (O₂⁻)

  • Peroxyde d'hydrogène (H₂O₂)

Lorsque les nanobulles s'effondrent ou libèrent leur gaz, des ERO sont générées à des concentrations locales très élevées. Ces molécules attaquent les structures clés des micro-organismes, les endommageant de manière irréparable.

Quels micro-organismes sont affectés ?

Les nanobulles et les ERO ne ciblent pas uniquement E. coli. Elles peuvent affecter une large gamme de microbes, y compris :

  • Bactéries : E. coli, Salmonella, Listeria, Staphylococcus aureus

  • Virus : Virus de la grippe, SARS-CoV-2, norovirus

  • Champignons : Candida albicans, moisissures, et autres levures

  • Protozoaires : Giardia, Cryptosporidium

Comment les ERO détruisent les micro-organismes

Les ERO attaquent les micro-organismes de plusieurs manières :

  1. Endommager les membranes cellulaires
    Les ERO retirent les atomes d'hydrogène des acides gras dans les membranes microbiennes, causant la peroxydation lipidique. Cela affaiblit la membrane, forme des trous et provoque des fuites du contenu cellulaire vital.

  2. Décomposer les protéines
    Les ERO oxydent les acides aminés dans les protéines, provoquant le mauvais repliement des enzymes et des protéines structurales ou les rendant inactives.

  3. Détruire le matériel génétique
    Les radicaux hydroxyles peuvent casser les brins d'ADN et d'ARN, empêchant les micro-organismes de se reproduire.

  4. Saturer les défenses naturelles
    Les microbes possèdent des antioxydants pour lutter contre les ERO, mais le stress oxydatif concentré des nanobulles est trop puissant pour qu'ils puissent y faire face.

Le Résultat : La mort microbienne

Avec des membranes percées, des protéines endommagées et du matériel génétique détruit, les micro-organismes ne peuvent pas survivre. Les nanobulles délivrent les ERO directement là où elles sont nécessaires, provoquant une inactivation microbienne rapide et efficace.

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